lunedì 9 settembre 2019

10 settembre Santi di Francia






Saint VERAN, fils de saint Eucher de Lyon et frère de saint Salonius de Genève, évêque de Vence en Provence (après 451). (Office composé en français par le père Denis Guillaume et publié au tome XVI du Supplément aux Ménées.)

Saint SALVIN, évêque de Mâcon en Bourgogne (vers 560).

Saint CONVAL (GUNVAL), abbé au diocèse de Tréguier en Bretagne (vers 580).

Saint SALVY, avocat devenu moine, évêque d'Albi en Languedoc (584).

Saint GLENN, Irlandais, disciple de saint Colomban, fondateur de paroisse à Saint-Glenn près du Méné-Bré en Bretagne (623).

Saint THEODARD, higoumène de Stavelot dans le pays de Liège et de Malmédy dans les Cantons-Rédimés, puis évêque de Maëstricht en Limbourg, successeur de saint Rémacle, martyr par la main de brigands dans la forêt de Biwalt (Bienenwald) près de Spire en Rhénanie (669 ou 670).

Saint OTGER, diacre écossais, ermite au Mont Saint-Pierre (aujourd'hui Mont-Sainte-Odile) près de Ruremonde en Limbourg (715).

Saint AUBERT le Marqué, évêque d'Avranches en Normandie, fondateur du monastère du Mont-Saint-Michel (725).

Fondateur du Mont Saint-Michel. En effet, une nuit, il reçut trois fois, au cours de son sommeil, l'ordre de l'Archange Saint Michel de faire ériger sur le Mont Tombe une église en son honneur. Vu l'état de cette pointe rocheuse, à peine rattachée au continent, couverte de broussailles et de ronces et seulement habitée, outre les bêtes sauvages, par quelques ermites, il jugea cela impossible et pensa d'abord à un tour du malin. Ce n'est que la troisième fois qu'il obéit après que l'archange, afin de mettre fin à ces hésitations, appuya fortement le doigt sur son front et y laissa une empreinte. Aubert se réveilla avec un creux sur le front et comprit la véracité de l'ordre du saint. Ce crâne, aussi appelé « chef de saint Aubert » est conservé aujourd'hui dans le trésor de la basilique Saint-Gervais-et-Saint-Protais d'Avranches et porte les traces d'un tel stigmate. Des événements providentiels le guidèrent dans sa tâche : un rond de rosée, un matin de septembre, lui indiqua la forme de l'oratoire, un taureau attaché en montra l'emplacement. Une source fut trouvée, un puits creusé. Il fallut encore arracher une pierre cultuelle païenne. Aubert envoya des moines chercher au sanctuaire du Mont Gargano en Italie, dédié à saint Michel, des reliques du lieu. Puis, le 16 octobre 709, l'évêque fit la dédicace de l'église et y installa un chapitre de douze chanoines. Le Mont Saint-Michel était né.

Saint EUNUCE, évêque des sièges réunis de Noyon et de Tournai (vers 745).

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