martedì 17 marzo 2020

Grande Quaresima 2020-Testi liturgici in uso pressoL’EGLISE CATHOLIQUE ORTHODOXE DE FRANCE e presso LaCOMMUNION DES ÉGLISES ORTHODOXES OCCIDENTALES-Chiese locali di tradizione pienamente occidentale e nel calendario e nel typikòn


Premessa   

Sia  L’EGLISE CATHOLIQUE ORTHODOXE DE FRANCE  


ed anche  La  COMMUNION DES ÉGLISES  ORTHODOXES OCCIDENTALES
Église Orthodoxe Celtique
Église Orthodoxe Française
Église Orthodoxe des Gaules

Non sono  in comunione con nessuna delle Chiese Ortodosse usuali .Tuttavia proprio nel loro essere nell'eredità della testimonianza e del ministero  di MONSEIGNEUR JEAN, ÉVÊQUE DE SAINT-DENIS ( Eugraph Kovalevsky) di venerata memoria  e  canonizzato e glorificato nel Sinassario  di tutte le nobili chiese qui indicate  meritano  rispetto ed attenzione. 



Nel calendario della   EGLISE CATHOLIQUE ORTHODOXE DE FRANCE 


Mercredi 18 mars Saint 

Messe des Présanctifiés :Gn 48/8-22    Ex 20/12-24  Mt 15/1

CYRILLE, patriarche de Jérusalem, : Père de l’Église († 386)

Notre Saint Père Cyrille naquit probablement à Jérusalem, vers 315, de parents pieux et Orthodoxes. Il fut ordonné Prêtre par l'Archevêque Saint Maxime1 qui le chargea de la formation des Catéchumènes. Homme de paix, humble et doux, plus préoccupé de l'édification des fidèles que des interminables controverses doctrinales qui déchiraient l'Eglise après le Concile de Nicée, il évitait d'employer le mot « consubstantiel » (homoousios)2 mais partageait pleinement la Foi Orthodoxe. Cette réserve fit croire aux ariens qu'il était de leur parti et, lorsqu'à la mort de Maxime (347), il fut élu par le peuple pour lui succéder, le métropolite arien de Césarée de Palestine, Acace, dont dépendait alors Jérusalem3, agréa l'élection et l'ordonna Evêque. Mais il dut bientôt reconnaître amèrement sa méprise4, car le nouvel Evêque enseignait clairement la Doctrine Orthodoxe sur la divinité du Fils et Verbe de Dieu en expliquant le Symbole de Foi aux Catéchumènes dans ses Catéchèses baptismales5. Tel le Bon Pasteur, il gouverna avec sagesse la Ville Sainte qui, grâce aux constructions entreprises par Saint Constantin le Grand, retrouvait une nouvelle gloire et attirait un grand nombre de pèlerins venus de toutes les extrémités du monde chrétien. En 351, il fut témoin comme tous les habitants de l'apparition merveille d'une immense Croix lumineuse dans le ciel, du Golgotha au Mont des Oliviers, et il écrivit à l'empereur Constance pour l'en informer6. Il contribua aussi à l'organisation des fêtes et des processions dans les Lieux saints, qui deviendront le fondement de maintes fêtes générales de l'Eglise. Quelques années après, il présenta au Métropolite de Césarée une requête, dans laquelle il demandait la reconnaissance des privilèges apostoliques de Jérusalem, que les Pères du Concile de Nicée avaient reconnus sans les définir exactement. Cette revendication déclencha la haine d'Acace qui, sous prétexte qu'en temps de famine Cyrille avait vendu des Vases Sacrés et des Ornements Liturgiques de la Basilique de la Résurrection pour nourrir les pauvres, le convoqua à son tribunal ecclésiastique, en vue de le condamner. Comme Cyrille ne se rendait pas à ses convocations réitérées, il le déposa et le fit expulser par la force de Jérusalem, en mettant à sa place un arien. Saint Cyrille fit appel, demandant que l'affaire soit soumise à une autorité ecclésiastique supérieure; et, en attendant, il trouva refuge à Tarse, en Cilicie, auprès de l'Evêque Silvain. En dépit des menaces d'Acace, celui-ci l'accueillit fraternellement et lui demanda de prêcher au peuple qui l'écoutait avec enthousiasme, comme un homme vraiment apostolique. Le concile réuni à Séleucie en 359 lui rendit justice et déposa Acace. Mais la sentence n'eut pas le temps d'être mise à exécution, car le Métropolite de Césarée, se précipitant à Constantinople, fît pression auprès de l'empereur Constance pour qu'il annule la décision du concile, et il fit confirmer la déposition de Cyrille par un conciliabule d'évêques ariens (360).

Lorsque, peu après, Julien l'Apostat prit le pouvoir, Saint Cyrille put profiter des mesures de tolérance religieuse prises par l'empereur afin de préparer sa restauration du paganisme, et il rejoignit son siège avec tous les autres Evêques exilés au temps de Constance. Mais ce ne fut que pour affronter de nouvelles tribulations. Incités par l'empereur, les païens de Gaza se soulevèrent alors contre les Chrétiens, en faisant de nombreuses victimes, puis ils détruisirent le Monastère de Saint Hilarion (cf. 21 oct.) et dispersèrent ses moines. Comme l'Apostat voulait démontrer la fausseté des Prophéties du Christ concernant la ruine définitive du Temple de Jérusalem (cf. Mat. 24:2), détruit par les Romains sous Tite, il permit aux Juifs de le reconstruire. Mais, conformément à la prédiction de Saint Cyrille, les travaux furent bientôt arrêtés par un terrible tremblement de terre, qui renversa même les fondations de l'ancien Temple, et un feu, sortant des fondements, consuma certains ouvriers, en mutila d'autres, laissant à tous les marques les plus visibles de la colère divine.  Après la disparition de Julien, le calme étant rétabli, Cyrille put reprendre son oeuvre pastorale et, à la mort d'Acace, il fit élire son neveu comme Métropolite de Césarée. Mais, par leurs intrigues, les ariens convainquirent l'empereur Valens (364-378) de déposer le Saint Evêque de Jérusalem et de le condamner à un nouvel exil, ainsi que tous les autres Evêques bannis sous Constance (367). A la mort de Valens, Saint Cyrille put regagner son diocèse, au bout de douze ans d'absence, mais il eut la douleur de découvrir que certains orthodoxes, influencés par les calomnies des ariens, refusaient de le reconnaître comme leur Evêque légitime et de communier avec lui. C'est pour cette raison que le Concile d'Antioche (379) envoya Saint Grégoire de Nysse (cf. 10 janv.) pour rétablir la paix dans le diocèse de Jérusalem. Ayant échoué, celui-ci se retira découragé et plein de tristesse, laissant Saint Cyrille affronter seul, avec foi et espérance, les divisions dans la Maison de Dieu. Il prit part au IIe Concile OEcuménique (381) réuni par l'empereur Théodose, et contribua à la condamnation définitive de l'arianisme et de ses diverses variantes. Au terme de ses sessions le Concile reconnut solennellement les combats de l'Evêque de Jérusalem pour la cause de l'Orthodoxie. De retour dans sa cité Saint Cyrille put jouir pour peu de temps de la paix qu'il avait restaurée au prix de tant de labeurs, et il s'endormit en 386, après trente-cinq ans d'épiscopat, dont seize se passèrent en exil.

1. Commémoré dans l'Eglise latine le 5 mai.
2. Cf. la notice de St Athanase. le 18 janv.
3. Réduite à l'état de simple bourgade après sa destruction par les romains, et sa communauté chrétienne ayant été dispersée au temps des persécutions, Jérusalem, nommée Allia, avait été soumise ecclésiastiquement à Césarée, capitale administrative de la Palestine.
4. Comme un peu plus tard les ariens qui avaient favorisé l'élection de St Mélèce d'Antioche (cf. 12 fév.).
5. Ces Catéchèses, dont il existe plusieurs traductions françaises, restent un des meilleurs exposés de la Foi Orthodoxe et un document de la plus grande importance pour la connaissance de la pratique liturgique de l'Eglise ancienne. fidèlement préservée dans l'Eglise Orthodoxe d'aujourd'hui. Prononcées pendant la période de quarante jours avant Pâques, préparatoire au Baptême, elles comportent une Procatéchèse, dix-huit catéchèses baptismales, interprétant le Symbole et les fondements de la Foi Orthodoxe, et cinq catéchèses mystagogiques, réservées aux initiés qui venaient d'être baptisés à Pâques, dans lesquelles l'Evêque explique les Rites Sacrés du Baptême et de l'Eucharistie.
6. Ce miracle est commémoré le 7 mai.



Troparion — Tone 8
You were seen in Zion clothed in a robe of godliness / As an illustrious pillar of the Apostles’ faith. / You became an heir to their grace, / Setting forth their pious doctrines / And dispensing their talents of wisdom. / O Cyril, our Father and hierarch, pray for us.

Kontakion — Tone 1
With your lips, O wise Cyril, / And through divine inspiration / You enlightened your people / To the worship of the one Trinity, / Undivided in essence, yet divided in Hypostases. / Wherefore rejoicing, we celebrate your all-holy memory, / Offering you as our intercessor before God


Mémoire des saints :
 NARCISSE, évêque d'Augsbourg, apôtre des    Grisons, martyr († 307)

Saint NARCISSE, Espagnol de nation, évêque qui fut le premier apôtre de la Rhétie (actuel canton suisse des Grisons) et mourut martyr à Girone (Espagne) sous Dioclétien (entre 303 et 305).


Saint TETRIC (TETRICE, TETRICIUS), fils de saint Grégoire de Langres, évêque de Langres en Bourgogne (572).


MÉROLE, évêque du Mans († 785)

ANASTASIE, veuve, ermite près d'Alexandrie
(† VIe s.)

EDWARD, roi d'Angleterre, martyr († 978)


Nel calendario liturgico della   COMMUNION DES ÉGLISES  ORTHODOXES OCCIDENTALES

Mercredi 18 Mars 2020
Temporal : Gn 48, 8 à 22  Ex 20, 2 à 17   Mt 15, 1 à 20

Saint Cyrille, évêque de Jérusalem (387)

Narcisse, év. d’Augsbourg, mart. (307) - Tétrice, év. de Langres (572) - Mérole, év. du Mans (785) - 


Edouard, roi d’Angleterre, mart. (978) - 

Nicolas, év. d’Ohrid (1956)



ed anche nella variante del typikòn della  Église Orthodoxe Celtique


Cyrille, évêque de Jérusalem, Père de l’Église (386)

Frigidie n, d’Irlande, évêque-abbé   de Lucques (588)


♦ Liturgie :
Jl 2, 15-17
1 P 3, 10-15
Jn 6, 41-47

Eglise Orthodoxe des Gaules
Livret de Prière
Carême 2020

Méditation

« La foi et l’espérance sont des cordes qui résonnent juste, accordées en bas par l’épreuve du doute et en haut par la Grâce. L’espérance est un dépassement permanent des illusions, l’attente  ferme de la réalisation des promesses du Christ. La foi est une tension entre les doutes surmontés à chaque instant et la confiance dans le Christ.»

saint Evêque Jean de Saint Denis (1905-1970)


Psaume   116        -(115     nella numerazione in uso nelle usuali  Chiese Ortodosse)

Psaume 116
J’aime le Seigneur car Il m’entend, Il écoute la voix de mes prières.
Il incline vers moi son oreille, le jour où je L’invoque.
79
Les liens de la mort m’enserraient, le filet du shéol m’avait enlacé,
j’étais tombé dans l’angoisse et la douleur.
J’ai invoqué le Nom du Seigneur : ô Seigneur, délivre mon âme !
Le Seigneur est miséricorde et justice, notre Dieu est compatissant.
Le Seigneur veille sur les humbles : j’étais faible, Il m’a secouru !
O mon âme, retourne à ton repos, car le Seigneur te comble de bienfaits.
Oui, Il a préservé mon âme de la mort, mes yeux des larmes, mes pieds de la chute.
Je marcherai avec le Seigneur, sur la terre des vivants.
J’ai cru, c’est pourquoi j’ai parlé : j’ai atteint les limites de l’abaissement.
Dans mon trouble, j’allais jusqu’à dire : «Tout homme est mensonge».
Que rendrai-je au Seigneur pour tous les bienfaits dont Il m’a comblé ?
J’élèverai la coupe du salut et j’invoquerai le Nom du Seigneur.
J’accomplirai mes voeux envers le Seigneur, en présence de tout son peuple.
Elle est précieuse aux yeux du Seigneur, la mort de ses saints.
Seigneur, je suis ton serviteur, oui, ton serviteur, le fils de ta servante,
c’est Toi qui as brisé mes chaînes.
Je T’offrirai un sacrifice de louanges et j’invoquerai ton Nom,
j’acquitterai mes voeux envers Toi, en présence de tout ton peuple,
dans les parvis de la maison du Seigneur, au milieu de toi, Jérusalem !



Prière à la Mère de Dieu

Salut, Souveraine des cieux. Salut, Joie des Incorporels.
Salut, Flambeau du paradis, par qui la lumière a jailli.
O Vierge très glorieuse, Trésor précieux des fils d’Adam,
Prie pour nous le Christ très clément.


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